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Des néons de Pigalle, aux sièges en rotin de Saint-Germain-des-Prés, au Parc André Citröen, découvrez-les tous.
L’esprit de Montmartre existe-t-il toujours ? On pourrait le penser tant la fameuse butte est prise d’assaut par les touristes, qui y admirent son imposante basilique, et se promènent par centaines dans les petites rues pavées en se faisant croquer par des artistes aux talents divers…
Mais faites l’effort de monter sur la butte au petit matin, et admirez la vue sur Paris et ses toits, et vous verrez que la magie de Montmartre n’est pas prête de disparaître.
Pigalle vit la nuit, depuis que Pigalle est Pigalle et Paris est Paris. Cela fait 50 ans que le quartier change, mais qu’une chose ne change pas : la nuit de Pigalle se vit sous les néons.
Ces néons qui aujourd’hui signalent l’entrée de bars à cocktails très tendances, ces néons qui invitent à venir danser toute la nuit et oublier le jour qui arrive, ces néons qui font que Paris et Pigalle sont une fête.
Pas un quartier de Paris ne fait autant rêver les touristes. Pas un quartier est à la fois aussi chic mais aussi bohème, un quartier qui réunit les écrivains à travers les âges, la jeunesse dorée et les fashionistas du monde entier.
Et où se réunissent tous ces gens ? Sur les sièges en rotin des beaux cafés de Saint-Germain-des-Prés.
À chaque café, son motif, sa couleur, son style inimitable “made in France” qui rend les cafés de Saint-Germain aussi chics et uniques.
Si vous voulez vous transporter dans le Paris des années 60, dans un Paris populaire, un Paris où la mixité culturelle est reine, n’allez pas plus loin que Belleville.
Mais vous n’êtes pas les premiers à re-découvrir les charmes de Belleville. Aujourd’hui, c’est le quartier des musiciens, des artistes, des gens qui ont plus de projets que de financements.
C’est un quartier populaire où le métissage est constant, où les influences culturelles du monde entier viennent paisiblement cohabiter et s’enrichir, où les petits commerces du boulevard de Belleville vendent de tout, où le marché est une célébration des produits du monde entier.
Là où 32 000 personnes fabriquaient les premières automobiles Citroën, se dresse aujourd’hui un parc atypique. Le parc André Citroën n’est pas un parc à la française, classique comme son camarade Rive gauche, le jardin du Luxembourg.
Non, le parc André Citroën est une merveille architecturale, faite de lignes de fuite, de bâtiments en verre et où la nature cohabite avec le béton brut, où l’eau, domptée par la main de l’homme, file en lignes droites infinies.
L’esprit de modernité d’André Citroën vit dans ce parc futuriste en bord de Seine.
Et si la colonne de Juillet, inaugurée en 1840 pour célébrer la révolution des Trois Glorieuses, devenait, la nuit, une joyeuse boule à facette ?
Bastille évoque à tout Parisien des nuits de sorties, quand la place devient le point de rendez-vous des étudiants qui ont, avec plus ou moins de succès, passé leurs partiels.
Assis sur les marches de l’Opéra, ils y attendent leurs amis, pour ensuite s’engouffrer dans les petites rues adjacentes où des myriades de cafés attendent les fêtards…
Que seraient les Batignolles sans le parc Monceau ? Ce parc, à l’élégance raffinée de l’ouest parisien est le lieu privilégié des joggeurs, qui aiment son calme et son parcours fait de longues lignes droites le long de magnifiques façades haussmanniennes qu’ils peuvent fouler dans une boucle aussi variée qu’agréable.
La rotonde du parc, anciennement « Barrières de Chartres » est un lieu de rendez-vous pour les amoureux de tous âges qui profitent de ce charmant poumon de verdure pour y déclarer leur flamme…
Si vous voulez vous transporter dans le Paris des années 60, dans un Paris populaire, un Paris où la mixité culturelle est reine, n’allez pas plus loin que Belleville.
Mais vous n’êtes pas les premiers à re-découvrir les charmes de Belleville. Aujourd’hui, c’est le quartier des musiciens, des artistes, des gens qui ont plus de projets que de financements.
C’est un quartier populaire où le métissage est constant, où les influences culturelles du monde entier viennent paisiblement cohabiter et s’enrichir, où les petits commerces du boulevard de Belleville vendent de tout, où le marché est une célébration des produits du monde entier.
Le Canal est un lieu de vie, de convivialité, de rencontres et de découvertes. Ce mince filet d’eau qui traverse ainsi l’est de Paris est un lieu de rassemblement, de partage.
On s’y engage en quittant la place de la République, pour remonter jusqu’à la place Stalingrad, en s’arrêtant pour admirer ou traverser ces ponts en fer forgé qui enjambent élégamment le canal.
On y flâne en toute saison, en découvrant des écluses au milieu de Paris, mais aussi un terrain de basket et des dizaines de restaurants dont les lumières se reflètent dans le canal.
« Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit, Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Élysées », chantait Joe Dassin.
La plus belle avenue du monde attire touristes et Parisiens qui viennent déambuler sur les larges trottoirs, faire du lèche-vitrine, et scruter l’avenue à la recherche de stars… et qui dit Champs-Élysées, dit forcément cabarets où des danseuses dans des habits de lumières et de plumes dansent le French cancan…
« Aux Champs-Élysées, aux Champs-Élysées, au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit, il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Élysées »
Pour les Parisiens, la gare de Lyon fait sourire. Non pas que le bâtiment, grandiose dans sa taille et son élégante architecture prête à sourire, bien au contraire.
Mais quand ils l’aperçoivent, c’est souvent pour prendre un train qui les emmène bien loin de leur capitale, souvent en direction d’un endroit où il y a plus de soleil et de mer…
Mais peut-être que leur sourire est encore plus présent car ils viennent d’emprunter la coulée verte, ancienne voie ferrée transformée en artère végétale qui suit et trône au-dessus de l’avenue Daumesnil.
Là où 32 000 personnes fabriquaient les premières automobiles Citroën, se dresse aujourd’hui un parc atypique. Le parc André Citroën n’est pas un parc à la française, classique comme son camarade Rive gauche, le jardin du Luxembourg.
Non, le parc André Citroën est une merveille architecturale, faite de lignes de fuite, de bâtiments en verre et où la nature cohabite avec le béton brut, où l’eau, domptée par la main de l’homme, file en lignes droites infinies.
L’esprit de modernité d’André Citroën vit dans ce parc futuriste en bord de Seine.
Le parc de la Villette est, et de très loin, le plus grand parc de Paris avec plus de 55 hectares. Mais ne vous imaginez pas un jardin du Luxembourg au Nord de Paris.
Non vraiment pas. Déjà ici la Géode domine le jardin comme une lune argentée de jour comme de nuit… et surtout, le parc est truffé de 26 « folies ». Au XVIIIe siècle, on nommait « folie » les petits pavillons disposés dans les jardins français qui servaient de lieux de plaisance.
Ici les folies sont contemporaines, 26 bâtiments rouges de formes variées, mais tous construits sur la base d’un cube de 10,80 mètres de côté, qui quadrillent le parc selon un espacement de 120 mètres. Attrapez-les tous !
Si on devait résumer le Marais en un mot, c’est finalement très simple et évident : tolérance.
Ce quartier, un des rares du centre de Paris à ne pas avoir été remodelé par le baron Haussmann et son style architectural éponyme, avec ces maisons basses et ses rues étroites, a toujours été un refuge, un lieu pour ceux qui ont toujours célébré leur singularité.
Aujourd’hui, ce quartier cultive cet esprit avec beaucoup de joie, de courage et de fierté.
Savez-vous pourquoi le sentier est le quartier de prédilection des entrepreneurs et « startup-er » ? Il y a dans le Sentier un grand nombre d’anciens entrepôts qui se convertissent à merveilles en « open-space ».
Mais nos entrepreneurs cohabiteront encore un bon moment avec les grossistes de tissus qui font la renommée de Sentier.
On y croise encore bon nombre de charriots, chargés de rouleaux de tissus aux milles couleurs, faire des aller-retours entre la rue du Caire et la rue d’Aboukir, à la façon d’un ballet coloré où la musique classique est remplacée par le bruit des roulettes qui rebondissent sur le pavé.
Les Halles c’est le quartier qui a vécu le plus de transformations de tous les quartiers parisiens.
Si à partir de 1710, il devient le marché central parisien, il a connu un nombre incroyable de transformations architecturales.
Aujourd’hui c’est devenu un lieu de verdure, ouvert sur le monde, avec une gigantesque canopée qui protège et invite les inconditionnels du shopping à pénétrer dans ses tunnels souterrains alors que les autres peuvent profiter d’un parc entièrement repensé.
L’esprit de Montmartre existe-t-il toujours ? On pourrait le penser tant la fameuse butte est prise d’assaut par les touristes, qui y admirent son imposante basilique, et se promènent par centaines dans les petites rues pavées en se faisant croquer par des artistes aux talents divers…
Mais faites l’effort de monter sur la butte au petit matin, et admirez la vue sur Paris et ses toits, et vous verrez que la magie de Montmartre n’est pas prête de disparaître.
Le quartier de Montparnasse est un véritable patchwork. S’il est dominé par l’imposante tour, seul gratte-ciel de Paris, c’est bien la gare et ses rails qui ont amené des générations de Bretons dans la capitale ; la raison qui explique les nombreuses crêperies dans le quartier…
Et à l’ombre du cimetière, des générations d’écrivains ont influencé la littérature française. C’est sûr, Montparnasse est éclectique.
Quand on descend vers « Mouffetard », en passant devant le majestueux Panthéon, ce n’est pas une promenade, c’est un cours d’histoire pédestre…
Depuis la Révolution, cet édifice grandiose reçoit les cendres des « Grands Hommes et Femmes » qui ont marqué l’histoire de la nation française.
Avec les arènes de Lutèce, on explore le passé romain de la capitale qu’on retrouve ensuite en foulant les pavés de la rue Mouffetard. Quelques siècles en autant de pas, c’est aussi cela Paris.
Pigalle vit la nuit, depuis que Pigalle est Pigalle et Paris est Paris. Cela fait 50 ans que le quartier change, mais qu’une chose ne change pas : la nuit de Pigalle se vit sous les néons.
Ces néons qui aujourd’hui signalent l’entrée de bars à cocktails très tendances, ces néons qui invitent à venir danser toute la nuit et oublier le jour qui arrive, ces néons qui font que Paris et Pigalle sont une fête.
Pas un quartier de Paris ne fait autant rêver les touristes. Pas un quartier est à la fois aussi chic mais aussi bohème, un quartier qui réunit les écrivains à travers les âges, la jeunesse dorée et les fashionistas du monde entier.
Et où se réunissent tous ces gens ? Sur les sièges en rotin des beaux cafés de Saint-Germain-des-Prés.
À chaque café, son motif, sa couleur, son style inimitable “made in France” qui rend les cafés de Saint-Germain aussi chics et uniques.
« Rive gauche ou Rive droite ? » à cette question qu’on se pose souvent entre Parisiens, les habitants de l’Ile Saint-Louis peuvent répondre « je n’ai pas eu envie de choisir ». Il y a chez eux, comme pour beaucoup d’insulaires, une façon de se démarquer.
Abrités derrière leurs ponts, ils savent qu’ils sont le centre de Paris, le point de départ de Lutèce. On leur pardonne volontiers cette fierté en dégustant une glace de passage sur leur île…
Que pourrions-nous vous dire sur la tour Eiffel que vous ne sachiez pas ? Essayons de vous surprendre. Nombres de marches ? 1 665.
Ok c’est un peu facile. Même si on ne demande pas son poids à une vieille Dame, combien pèse-t-elle ? Plus de 10 000 tonnes… Vous le saviez ? Bravo. Mais combien de boulons ? 2.5 millions…
Bon soyons honnête, la tour Eiffel est un symbole, pas seulement pour les Parisiens, pas uniquement pour les français, non, la tour Eiffel c’est un des monuments les plus connus au monde…
Et Citroën a une histoire avec la tour Eiffel en y affichant fièrement son logo au début du 20ème siècle !
Le triangle de Choisy tient son nom de deux trois rues qui délimitent un quartier qui se définit par sa richesse.
À la fois quartier chinois, vietnamien, cambodgien, laotien, ses nombreux restaurants sont une invitation aux voyages gastronomiques insensés. Des maneki-neko, chats porte-bonheur saluent les passants depuis les vitrines des différents magasins en agitant leurs pattes.
Mais c’est lors du Nouvel an lunaire chinois que le quartier prend vie et qu’on y voit défiler des dragons, symboles de prospérité, parader dans les rues sous le regard ravi des habitants du quartier.
La place du Trocadéro est bordée de brasseries qui rivalisent de style et font face au palais de Chaillot, bâtiment en demi-cercle sous lequel s’abrite le jardin du Trocadéro et ses magnifiques fontaines.
Mais ce qu’on retient quand on vient se promener au Trocadéro, c’est son immense parvis. Ce parvis qui permet de saisir la magistrale beauté de sa voisine, la plus connue de Paris, la tour Eiffel.